Je répondrai par un exemple. Lorsque j'étais chef de l'IGAS, France Domaine a identifié le bâtiment de la rue d'Astorg comme « pépite » de l'État et nous a aidés à fixer un prix puis à mettre en vente ce bien. Nous l'avons finalement cédé à un investisseur étranger pour un montant presque deux fois supérieur à celui proposé par France Domaine. Sans France Domaine, nous ne nous serions pas lancés spontanément dans une telle opération.
Je laisse Étienne Marie et Jean-René Masson répondre à votre question sur les soucis que nous rencontrons avec le CAS.