Il ne s'agit pas du lycée français Alexandre Dumas de Port-au-Prince, même si celui-ci constitue un atout pour le développement de la capitale et l'accueil des investissements étrangers. Il ne faut pas perdre de vue que lorsqu'une collectivité aide à la reconstruction d'un établissement scolaire, c'est en soutien de la collectivité partenaire, non de l'État français.