L'abandon des fréquences existantes au profit d'autres gammes de fréquences suppose de construire de nouveaux postes adaptés à ces fréquences. On pouvait aussi réduire ces plages de fréquence, mais cela supposait une réduction de la couverture, car ces fréquences ne pouvaient être utilisées que lors d'opérations réelles, et non pas sur le territoire métropolitain ou dans des pays souverains où elles sont également utilisées.
Sans doute devriez-vous auditionner le général Puget, qui connaît parfaitement, à l'échelle interarmées, le dossier de l'ensemble des fréquences, qu'il a défendu devant plusieurs commissions ministérielles.