S'agissant des enseignants expatriés, la mission d'audit que nous avons conduite au Maroc nous a appris qu'il était en effet essentiel de mieux définir leurs missions. L'enseignement de l'anglais dans un collège marocain ne justifie pas l'envoi d'un expatrié. Mais il faut conserver un substrat d'enseignants expatriés partiellement déchargés de leur fonction d'enseignement pour exercer des fonctions de conseil pédagogique et d'encadrement, notamment en direction des recrutés locaux, et remédier ainsi à la faiblesse du contrôle par les corps d'inspection.