Le coût de l'immobilier est pour l'Agence une bombe à retardement, étant donné l'importance du parc qu'elle doit gérer : au moins 260 implantations, dont certaines sont propriétés de l'État. Où trouver les moyens de rénover le parc existant, mais aussi de financer la construction de nouveaux établissements que suppose l'objectif de développement de notre réseau – je pense notamment aux projets d'implantation dans les grands pays émergents ?
La politique immobilière de notre réseau est très largement financée par les établissements, c'est-à-dire par les familles. Même la rénovation des établissements possédés par l'État, comme ceux de Barcelone ou de Madrid, nécessite la contribution des familles. On évalue le besoin de financement annuel entre 30 et 50 millions d'euros pour faire face aux besoins de rénovation et mener une politique de développement raisonnable.