C'est bien évidemment en Afrique que l'on développe le plus le français et que nos audiences sont les meilleures – 85 % de l'audience veille de RFI. Nous y promouvons en particulier une politique dite des « langues véhiculaires » – le swahili et le haoussa actuellement, plusieurs autres au total à la fin 2011 – afin qu'elles servent de support pédagogique à la transmission du français.