Certes, c'est pourquoi nous avons décidé, avec le ministère de la Recherche, de poursuivre l'analyse des réponses des holdings – mais aussi du secteur de la banque et de l'assurance, dont les résultats sont parfois curieux – de façon à affecter de manière véridique les sommes en fonction de leur nature exacte. Nos travaux sont en cours et progressent. Ma réponse n'est pas dilatoire : il y a un vrai travail qui devrait aboutir à une vraie ventilation des dépenses.