a indiqué que les élus locaux avaient vocation à jouer un rôle majeur dans la promotion de la politique de développement durable. Les bâtiments recevant du public sont en effet une des principales sources de rejet de CO2. Il faut donc intensifier les efforts en matière d'audits thermiques et, au-delà, mettre en oeuvre des plans d'environnement communaux, plus faciles pour les petites communes à élaborer qu'un agenda 21, qui permettraient, par exemple, en matière de bois, de demander des bois certifiés avec des précisions sur leur origine ou de vérifier l'absence de produits chimiques dans la fourniture de charpentes lamellées collées. Prenant l'exemple de la construction d'un parking dans sa commune de Claye-Souilly dans lequel le bitume utilisé est à faible consommation énergétique, il a insisté sur la responsabilité des élus locaux en matière de développement durable, les entreprises ne proposant pas forcément spontanément ce genre de produit dans leur offre.