Les choses peuvent fonctionner avec l'effectif ainsi stabilisé mais elles deviendraient difficiles si l'on tombait à moins de 500 enseignants expatriés. Il faut tenir compte de ce qu'un volant de 100 à 150 personnes est nécessaire pour couvrir les postes peu attractifs. Dans certains établissements de pays d'Afrique subsaharienne notamment, il manque des enseignants dans cinq, six, voire huit disciplines. Mais il faut aussi pouvoir assurer le pilotage pédagogique que j'ai évoqué plus haut.