C'est en effet un système extrêmement dangereux que celui dans lequel se trouve prise l'Agence, à la fois chargée de gérer les établissements et d'assumer une partie de la charge des frais de scolarité. Il paraît difficile de concilier ces deux exigences, le risque étant que le coût de la prise en charge empêche toute initiative nouvelle, toute construction ou restauration de bâtiments. Ne conviendrait-il pas de retirer le volet « prise en charge des frais de scolarité » du budget de l'Agence ?