Non, mais qu'il faudra prendre en compte le risque de variation des taux d'intérêt de base.
Troisième possibilité : passer dès maintenant un accord aux termes duquel l'opérateur paiera une sorte de loyer annuel pour récupérer la capacité lorsque SICRAL sera mis en orbite. Cette formule me semble la meilleure tant pour l'État que pour la partie privée, dans la mesure où elle permettrait de fixer les variables dès maintenant.