J'ajoute que les structures juridiques ou financières envisagées étaient des structures sans personnel ; celui-ci provenait des structures opérationnelles. L'intervention de la Sovafim en était par la même structurellement limitée : cette société ne dispose pas des personnels capables d'assurer ce qu'on appelle « l'asset management », c'est-à-dire les arbitrages sur la destination et la valorisation des actifs. En pratique, son champ d'intervention était presque objectivement limité à la Pépinière. Il était hors de question que la Sovafim assure la responsabilité de Reuilly, où beaucoup de travaux de conduite de chantiers étaient prévus, et encore moins celle de l'îlot Saint-Germain et de sa redoutable complexité.