L'arbitrage qui vient d'être décrit comporte un autre paramètre, extérieur au dossier. Au-delà des actifs du ministère de la Défense, d'autres immeubles ressortissant à l'État – du ministère chargé de l'équipement par exemple – pourraient être mis sur le marché dans des délais comparables ; dans ces conditions, il importe de s'assurer de la capacité du marché à absorber non seulement les immeubles mis en vente par le ministère de la Défense, mais aussi d'autres actifs immobiliers publics qui viendraient à être mis simultanément sur le marché. La décision doit donc aussi prendre en compte une programmation de cession à l'horizon des années 2014 ou 2015 d'autres actifs immobiliers de l'État situés dans la même aire géographique.