Ce que je veux savoir, c'est quelle part de décision vous reconnaissez à l'organisme central de l'État et au ministère lui-même. J'ai bien entendu que vous plaidiez pour que la décision revienne finalement au ministère. J'ai tendance à penser l'inverse.
Je prends un exemple concernant un autre ministère.
Alors qu'il a acquis en plein centre de Paris un immeuble pour mettre ses services, cet immeuble est resté vide pendant douze ans – ce qui coûte à l'État 80 millions d'euros – et le conseil de l'immobilier de l'État est maintenant saisi d'une demande du secrétariat général dudit ministère pour s'installer dans l'immeuble en face !