De nombreux exemples montrent que l'État est extrêmement en retard en ce qui concerne la gestion de son immobilier.
J'ai été très intéressé par la comparaison que vous avez faite. Il ne s'agit pas, en effet, pour les ministères de se comporter comme des « locataires moyens ». Où placez-vous la frontière entre ce qui relève, selon vous, de la définition d'une stratégie immobilière globalisée et centralisée et la part que vous reconnaissez à chaque ministère dans la décision ?
Lors de son audition sur le schéma pluriannuel de stratégie immobilière, SPSI, Mme Malgorn, secrétaire générale du ministère, nous a fait part d'orientations qui sont radicalement différentes de celles qui sont prises aujourd'hui. Nous a-t-elle tenu un discours de circonstance, ou bien le ministère de l'Intérieur a-t-il changé d'avis ?