Je retiens de votre discours, qui est assorti de toutes les prudences nécessaires, qu'au niveau central, il y a de très fortes résistances, que les ministères ne jouent pas le jeu car ils sont contre la remise en cause de la règle de l'affectation. Les décisions qui sont prises par France Domaine sont contestées. Au niveau déconcentré, l'information ne passe quasiment pas et vos interlocuteurs locaux sont désemparés.
Ce constat, que M. le rapporteur comme moi-même avions déjà fait, ne justifie-t-il pas une impulsion nouvelle et une remise en cause de l'organisation, entre autres de France Domaine, pour pallier les carences observées ?