Le problème tient au fait que nombreux sont ceux qui croient qu'il n'est pas possible que France Domaine, et sa petite équipe, devienne du jour au lendemain propriétaire unique de l'ensemble des biens immobiliers de l'État. Le mieux, encore une fois, est l'ennemi du bien : il serait plus crédible de commencer par faire de France Domaine le propriétaire d'une partie du parc immobilier de l'État, par exemple des bureaux, avant de passer progressivement au reste.