Toute la question est justement celle de savoir pourquoi des décisions ne sont pas prises alors qu'elles devraient l'être. Si l'on peut comprendre les réticences des élus territoriaux s'agissant de la restructuration de services publics locaux, ils ne pourraient, en revanche, qu'être très intéressés par du foncier supplémentaire. Or le sentiment qui ressort de nos auditions est que les ministères ne pensent qu'à freiner toute prise de décision en la matière.