La grande question est en effet d'en finir avec le régime de l'affectation. Il faut trouver le juste milieu entre une rupture brutale, que tous s'accordent à trouver irréaliste, et le statu quo, qui est inopportun. Comment faire, et à quel rythme ? C'est d'autant plus compliqué que le patrimoine de l'État est extraordinairement divers et important. Cependant, cette difficulté peut servir d'alibi à ceux qui ne veulent pas avancer.