Contrairement à ce que vous pensez peut-être, M. le Président, votre approche de l'immobilier de l'État est plutôt en avance sur celle de plusieurs groupes du CAC 40, qui n'ont pas encore pris en considération – au rebours de l'État – l'impact et l'importance de l'immobilier dans leurs comptes et dans leur organisation. Il m'est même arrivé d'organiser des rencontres pour informer des groupes privés de ce que fait l'État en la matière !
Pour en revenir aux recommandations, le plus important est, me semble-t-il, de bien « coller » à la réalité du marché.