Céder l'usufruit de satellites de télécommunications, dont l'espérance de vie est assez faible et dont la part capacitaire dévolue à des tiers est limitée à 10 %, ne permettra pas d'obtenir une marge importante. Nous serons probablement très loin des 400 millions d'euros nets prévus, d'autant que le ministère devra payer ses propres communications.