Pas tout à fait, parce que vous avez semblé considérer tout à l'heure, M. le Président, que l'urgence, c'était la présidence française de l'Union européenne. J'ai mentionné cet élément comme un élément de butoir pour nous, pour ne pas avoir à réaliser des déménagements dans le courant du second semestre 2008. Mais la véritable urgence pour nous, c'était la création de l'administration centrale du ministère au 1er janvier. Dans le cadre du vote de la loi de finances, le Parlement a décidé de nous transférer des services. Il fallait bien qu'on les loge !