Bertrand Schneiter, inspecteur général des finances :
Il a raison, mais cela ne signifie pas que l'AEFE ne puisse pas bénéficier du savoir-faire de l'Agence foncière du Quai d'Orsay. Pour autant, je ne vois pas ce que cela apporterait de charger cette dernière de l'enseignement français à l'étranger.