Pour ce dernier, l'Agence foncière de l'État à l'étranger n'a pas dans ses priorités, au moins dans la première phase, à s'occuper d'autre chose que des locaux administratifs régaliens.
Comme il s'agit d'un parc immobilier très spécifique, il me paraît plutôt raisonnable d'imaginer que l'opérateur deviendra gestionnaire de plein exercice de son parc immobilier, car la problématique est, pour partie, la même partout : fournir des locaux d'enseignement. D'autant que les arbitrages entre location, propriété ou autre sont sans doute plus faciles à faire à ce niveau. On pourrait d'ailleurs imaginer davantage de prises en location dans certains cas.
Quoi qu'il en soit, je ne vois pas le bénéfice que pourrait tirer la maison AEFE de l'intervention de l'Agence foncière. Peut-être y aura-t-il des problèmes d'expertise, mais il me semble légitime que l'opérateur gère l'immobilier. On identifiera d'autant mieux les réseaux propres dans le système.