Nous ne cherchons pas à prouver une quelconque gabegie et si nous évoquons une possible mise en cohérence, c'est que nous voulons savoir comment faire en sorte que les choses progressent. De manière unanime, nous constatons le manque de moyens et de formation. À cet égard, je suis frappé par le décalage qui existe entre le discours officiel – les ambitions affichées dans la lettre de mission du Président de la République en sont un exemple – et les moyens consacrés à l'enseignement français à l'étranger.