Nous appliquons des tarifs comparables à ceux pratiqués par la Sorbonne ou l'Institut catholique de Paris, dont peuvent s'acquitter des étudiants étrangers qui ont les moyens de venir et de séjourner dans notre capitale. Notre souci n'est évidemment pas de faire des bénéfices, mais de nous autofinancer, sachant que nos professeurs ne sont pas mis à disposition par l'Éducation nationale mais rémunérés par nous et que nous avons d'autre part à financer l'entretien de nos bâtiments.