Selon moi, il faudrait limiter le temps d'expatriation des professeurs. En effet, a-t-on toujours une bonne connaissance de la France si l'on a été expatrié trop longtemps ?
Les enseignants, de plus en plus sédentaires, risquent de ne pas mettre en oeuvre les textes officiels. Connaissent-ils le socle commun ? Actuellement, il y a peu de formation.
Les chefs d'établissement sont, comme ici, noyés dans l'administratif.
Un objectif pourrait être assigné à l'AEFE : inspecter les enseignants au moins une fois tous les trois ans pour évaluer leurs connaissances des programmes. Cela éviterait, lorsqu'ils viennent noter le baccalauréat en France par exemple, un certain décalage.