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Intervention de Monique Cerisier-ben Guiga

Réunion du 4 mars 2010 à 12h00
Mission d’évaluation et de contrôle de la commission des finances

Monique Cerisier-ben Guiga, sénatrice :

Accepter de parler français est une question d'âge : un jeune enfant a horreur d'être différent des autres.

Il ne nous reste plus que 600 professeurs dotés du statut d'expatrié. Nous sommes largement au-dessous des besoins. Nous n'avons pas non plus beaucoup d'enseignants résidents. Or, si vous voulez avoir des enseignants français à Bangui, à Brazzaville ou à Haïti, il faut un minimum d'expatriés et payer un peu plus cher les professeurs résidents.

Les professeurs résidents et recrutés locaux étant de plus en plus nombreux, il faut faire un gros effort sur leur formation initiale et continue. Faute de quoi, les parents subissent la double peine : ils paient de plus en plus cher, et la qualité de l'enseignement leur est de moins en moins garantie.

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