Selon moi, il est difficile d'avoir un seul pilote, pour le réseau.
À Berlin la semaine dernière, je me suis adressé en allemand au chauffeur venu chercher ma délégation à l'aéroport, et il m'a répondu : « Monsieur, parlez-moi votre belle langue française : je la comprends ! ». Petit Alsacien, j'avais des complexes car on se moquait de moi quand je parlais français.
J'aurais souhaité vous entendre sur la gestion, la qualification et la formation professionnelle des personnels, premiers vecteurs de l'enseignement français et du français dans le monde.