L'enfant franco-suédois vivant en Suède ne veut pas que sa mère lui parle en français devant ses camarades par crainte du ridicule. Pour qu'il continue à communiquer avec ses parents français, une seule solution : soit il va au lycée français où il ne sera pas le seul à parler français, soit il participe à un groupe FLAM.
Un mois après l'ouverture du premier groupe FLAM à Brooklyn, des parents m'ont dit, avec émotion, que leurs enfants acceptaient de recommencer à leur parler en français !
Je souligne toutefois qu'en Afrique francophone, la situation est totalement différente.