Nous préférerions la suppression de la prise en charge et le retour à l'attribution de bourses scolaires en fonction de critères de revenus.
Une solution intermédiaire consisterait à faire gérer ces frais par les consulats, sans qu'ils interfèrent avec le budget de l'AEFE. Certains sénateurs nous ont fait remarquer que le budget de l'Agence n'avait jamais été bien doté qu'aujourd'hui, mais les 60 millions d'euros qu'elle reçoit actuellement ne lui sont pas destinés en propre.