Il est mieux traité, puisqu'il perçoit dans un établissement français un salaire supérieur à celui qu'il recevrait dans un établissement local. C'est pourquoi ces enseignants sont attirés par les postes que nous leur offrons.
En 2000, nous avons mené en faveur des recrutés locaux une action qui a porté ses fruits, notamment dans les établissements en gestion directe. Mais, depuis cette date, en dépit des promesses du ministère, aucune amélioration n'est intervenue, par exemple en ce qui concerne leur couverture sociale.