S'il y a plus de recrutés locaux dans les établissements d'Amérique du Sud, c'est pour des raisons historiques – forte présence de l'Alliance française, nombre élevé de résidents français, attrait pour la langue française –, qui justifient que des enseignants locaux se soient investis dans ces établissements. Néanmoins, la situation a considérablement changé depuis quelques années. J'ai connu l'époque où l'on comptait plus de 2 700 enseignants ou directeurs expatriés ; ils ne sont plus que 1 200 aujourd'hui.