L'AEFE déconventionne les établissements qui coûtent trop cher ou qui n'ont pas suffisamment d'élèves français, et la Mission laïque française intervient alors comme « repreneur ». Cela dit, l'expérience n'est pas toujours probante. C'est ainsi que la Mission, qui a repris il y a deux ans l'école franco-italienne de Florence, est aujourd'hui confrontée à des demandes qu'elle juge exorbitantes de la part des personnels et des organisations syndicales qui demandent le respect de la réglementation sociale italienne.