Je souscris pleinement à l'analyse de nos collègues de la MEC. D'une manière générale, la machine éducation nationale n'aime pas beaucoup l'originalité. La remarque que vient de faire Jean-François Mancel pourrait s'appliquer aussi bien à l'enseignement agricole ou aux lycées maritimes – j'ai eu l'occasion de le mesurer lorsque j'étais secrétaire d'État à la mer.
Le ministère de l'Éducation nationale a du mal à s'adapter aux situations particulières. Raison de plus pour apporter un soutien à ces établissements, d'autant que, dans le cas de l'enseignement français à l'étranger, il y va de l'image de notre pays.