S'agissant des réparations d'urgence des digues avant les tempêtes d'équinoxe, il semblerait – comme nous l'avons entendu, en particulier de la bouche d'un préfet – que les crédits attendus tardent à venir.
Quant à la restauration à long terme des digues, pouvez-vous nous confirmer l'engagement de l'État et nous préciser sa hauteur ? Nous avons entendu dire qu'il serait compris entre 40 % et 50 %. Il nous faudra des engagements fermes dans la durée et, éventuellement, demander aux collectivités territoriales de trouver les 50 % restants, ce qui n'est pas gagné.