Chacun mesure la difficulté de l'exercice qui est le vôtre.
Vous disiez que nous avions créé un droit au bénéfice de toute personne qui souhaiterait l'exercer. Le problème est que ces zones créent également des obligations pour ceux qui ne souhaitent absolument pas l'exercer et qui risquent de devoir quitter, le cas échéant, un bien auquel ils sont très attachés. La procédure d'expropriation est parfois douloureusement vécue.
Avez-vous le sentiment que les délais impartis pour déterminer ces zones aient été suffisants pour mener une analyse scientifique sereine, précise et probante à l'égard des personnes sinistrées ? Nous risquons d'avoir du mal à nous montrer très convaincants sur le terrain.