Bien sûr il faut les aider de temps en temps, mais d'abord, ils doivent percevoir des prix décents pour leur production.
Nous déplorons l'abandon pur et simple de toute volonté de maîtriser l'hémorragie de terres, entre 50 000 et 70 000 hectares par an. Le projet de loi originel apportait des débuts de réponse, mais le retrait de tout objectif chiffré de frein à la consommation de terres agricoles, puis l'abandon de la taxe sur les plus-values énormes réalisées lors de la vente de terrains agricoles devenus constructibles font du texte actuel un texte décevant.
Enfin, il faut revenir sur l'amendement Le Fur. D'ailleurs, en commission, vous étiez contre, monsieur le ministre.