après avoir mentionné que l'IRSN reconnaissait que les expériences réalisées dans le laboratoire de Tournemire n'étaient pas directement transposables au site de Bure, en raison des différences historiques et géologiques entre ces deux sites, a mis l'accent sur l'apport méthodologique de Tournemire, notamment en matière de reconnaissance géophysique des fractures (à partir de la surface ou en profondeur). Il a souligné la possibilité de mener, dans le cadre relativement facile d'accès du tunnel de Tournemire, des expériences qui seraient beaucoup plus lourdes à organiser dans le laboratoire souterrain de Bure.