Je partage les inquiétudes de M. de Courson sur ce que j'appelle les « agrocarburants », précisément par opposition aux « biocarburants ».
Vous avez évoqué, à propos de l'enseignement supérieur agricole, des partenariats avec le ministère de la recherche. Où en est-on, et plus particulièrement où en sont les écoles vétérinaires ? Seriez-vous favorable à une réduction de la durée de formation des vétérinaires – nous sommes le seul pays en Europe où elle est aussi longue ? Seriez-vous également favorable à l'ouverture d'une cinquième école vétérinaire à Metz ? Ces deux mesures permettraient sans doute de cesser d'exporter nos étudiants puis de les réimporter une fois leur diplôme obtenu. Pourquoi un tel malthusianisme ?