Ce n'est pas à vous, monsieur le rapporteur pour avis, que cette observation s'adresse : c'est au ministre que je reproche le vide de cette loi concernant l'outre-mer. On ne peut pas laisser un million de Français sans politique agricole claire : les problèmes agricoles de l'outre-mer ne se réduisent pas à la composition de la chambre d'agriculture. Je suis prêt à travailler avec vous pour remédier à ce qui risque d'apparaître comme du mépris.