Effectivement, ce qui nous revient est un sentiment de brutalité.
Par ailleurs, la mission a le sentiment que la coopération et la réunion des moyens entre différents organismes chargés de la prévention – Météo-France, SHOM, SCHAPI, BRGM, Ifremer, etc. – sont très difficiles. En effet, le SHOM nous a semblé privilégier le modèle PREVIMER, alors que l'IGN souhaiterait avancer plus rapidement sur le programme Litto3D.
Quelles mesures et quels moyens seraient, à votre avis, nécessaires pour améliorer cette situation ?