Nous en reparlerons.
Cela étant, sur le principe, j'ai le sentiment que, depuis 2002 et l'acte d'allégeance de Mme Fontaine en matière d'énergie, qu'elle revendiquait elle-même en novembre 2003 devant notre collègue M. Gonnot, nous avons décidé de ne plus rien contester, y compris ce qui était contestable.
Ce n'est pas ce que font les Allemands, sans doute plus astucieux que nous : quand on les conteste, ils répondent précisément, poliment, mais fermement. Nous aurons l'occasion d'évoquer dès la semaine prochaine – puisque la commission des affaires économiques tient le haut du pavé dans cet hémicycle, monsieur le président de la commission – la manière dont ils ont répondu à la Commission européenne à propos de l'urbanisme commercial.