Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, M. François Brottes est un parlementaire honorable, respecté et avisé, qui connaît bien ces matières, et l'exercice auquel il vient de se livrer était, pour lui, particulièrement ardu. Il a eu, en effet, le plus grand mal à nous cacher que la libéralisation du marché de l'énergie était le fait de M. Pierret, ministre socialiste du gouvernement de la France.