Je ne fais pas là un procès d'intention, je me contente de rappeler les faits.
Le huitième argument, c'est la cerise sur le gâteau ! Le président Jacob est un homme d'une grande naïveté, qui n'a aucun poids politique, ni dans cette assemblée ni dans la commission qu'il préside, et qui agit avec peu d'expertise mais toujours beaucoup d'élégance. (Sourires.) Or voilà que, à peine arrivé, il nous apporte la privatisation de la Compagnie nationale du Rhône, par le biais d'un amendement léger à un texte tout aussi léger.