Comment passer des données « à la côte » au niveau dans les zones littorales basses ? Pour les fleuves surveillés par l'Etat, il faut développer les points de mesure et l'accès aux données existantes et améliorer la connaissance et les modèles. Dans les zones sous influence maritime, il y a souvent beaucoup de particularités complexes à saisir. Il faut arriver à « unifier » ce que disent les marins, les gestionnaires de ports, les pêcheurs… Le SCHAPI s'intéresse également à ce qui se passe dans les autres zones littorales basses – il n'y en a pas que le long des embouchures, des estuaires ou des deltas ; il y en a aussi qui sont drainées par de toutes petites rivières ou des drains artificiels et qui peuvent être en communication avec la mer. Nous devons parvenir à définir des niveaux de sensibilité de manière assez synthétique pour pouvoir donner l'alerte lorsque c'est nécessaire.