Nous travaillons avec PREVIMER, dont le comité directeur se réunit aujourd'hui, et avons passé des accords cadres avec l'IFREMER.
J'ai envoyé aujourd'hui des demandes à PREVIMER qui portent sur la réalisation de zooms plus précis sur le littoral, pour détailler et améliorer les prévisions dans les zones où les enjeux sont importants.
S'agissant du financement, la Direction générale de la prévention des risques est chargée de la transposition de la directive cadre européenne de 2007. Manuel Garcin fait partie du groupe concernant la submersion marine. Un calendrier doit être suivi, car il faut fournir une évaluation préliminaire des risques d'inondation au 22 décembre 2011. La méthode « niveau zéro » est en cours et nous avons proposé d'aller un peu plus loin que ce calendrier pour prendre en compte l'ensemble des phénomènes. À ce stade, nous n'avons pas trop de financement. Ce travail est réalisé avec le Centre d'études techniques maritimes et fluviales – CETMEF – et le CT Méditerranée, qui a donné les zones d'altitude basse, et nous l'enverrons à la DREAL.
CETMEF, BRGM et CT Méditerranée se sont réparti le travail consistant à suivre les DREAL qui examineront, avec leurs experts régionaux, la modification des limites. C'est un travail difficile au vu des échéances, et sans financement.