Votre présence à Norfolk est la contrepartie de la réintégration de la France dans le commandement intégré. Je souhaite savoir quelle est votre position face à la restriction draconienne des moyens mis à votre disposition, un peu moins de 600 personnes, contre 6 000 pour le commandement américain pour la transformation.
Lorsque la France a quitté le commandement intégré de l'OTAN, en 1966, le chef de l'État en faisait une question de souveraineté, afin que la France ait les mains libres face à ses alliés. Après la réintégration, est-ce que la France a toujours les mains libres ? Les entreprises européennes ont les plus grandes difficultés à concourir aux appels d'offres américains.