Oui.
Malgré tout, les personnels ont relevé le défi de la fusion. Aujourd'hui, on ne peut plus faire marche arrière : les hôpitaux ont réellement fusionné. Toutefois, pour les personnes qui ont connu l'ancienne configuration, la fusion reste difficile à intérioriser et à vivre au quotidien. On est toujours de l'un ou de l'autre ; on continue à parler de « l'hôpital », et non du « site », de Poissy ou de Saint-Germain – et encore moins du « CHIPS » !
Il reste que nous avons un service à rendre à la population. Le regroupement sur un site tiers est la seule solution possible. Il s'agira d'une grosse structure, bénéficiant d'une bonne situation et d'une bonne accessibilité depuis les deux villes. Il n'existe plus d'opposition véritable à ce projet : les médecins qui auraient encore pu nourrir des arrière-pensées savent que, d'ici là, ils seront partis à la retraite.