Elle est en partie liée au recrutement.
En outre, les Saint-Germanois se sont sentis agressés par les Pisciacais et se sont repliés sur eux-mêmes. Quant aux Pisciacais, sûrs d'eux-mêmes, ils ne se sont pas sentis concernés et n'ont pas organisé de réunions de concertation.
À cela, sont venues s'ajouter d'autres difficultés : des injonctions de réussite provenant de la hiérarchie administrative, ainsi que des pressions politiques – au demeurant fort compréhensibles – visant à défendre l'hôpital de Saint-Germain.